oui coupable de rien esperer, il y a tjrs des espoirs si minimes soient ils !!!! allez haut les cœurs (lol) bon debut de semaine

Je lis comme Fifine, coupable de ne rien espérer, et il suffit d'espérer pour sortir de cette culpabilité là et vouloir ce qu'on espère. En regardant les arbres, les oiseaux, et nos semblables, en goûtant un matin bleu ou blanc, un regard croisé, en étant dans la vie, l'espoir accompagne le désespoir, le rire suit les larmes.

Juste une remarque, sans la jouer *Précis de littérature*: *Un rien à espérer* n'est pas, en bon français, *Ne rien espérer* ... Un rien à espérer se lit par opposition à un Tout auquel finalement renoncer, l'âge aidant, au fil des côtes fêlées et autres montagnes à vaches qui rient d'un rien, d'un tout petit rictus de douleur pour unique colocataire, quand la souris accouchée fait sa première sortie de Printemps, en ce vain Mars tombé du Ciel Jovial sur un Saturne lourd à porter sur nos frêles épaules d'anges: « Parmi eux circuleront des garçons éternellement jeunes, avec des coupes, des aiguières et un verre de liqueur de source qui ne leur provoquera ni maux de tête ni étourdissement et des fruits de leur choix, et toute chair d'oiseau qu'ils désireront. Et ils auront des houris aux yeux grands et beaux, pareils à des perles en coquille en récompense pour ce qu'ils font. On leur sert à boire un nectar pur, cacheté, laissant un arrière-goût de musc. Que ceux qui le désirent ou le convoitent entrent en compétition pour gagner ce paradis-là... Il est mélangé à la boisson de Tasnîm, source où boivent nos plus proches... » Une mère sans époux et son fils sans père ont tourné un jour un vidéo-clip en Kalach'Marseillais, juste une turlute de quelques barrettes en flammes, comme par noire prémonition fataliste, les yeux baissés dans les yeux bleus d'un CRS, le coeur mis à l'envers dans le sable d'une zone d'un Shérif sans police, d'un Kamel enfumé, d'un Nabil cramé, d'un univers désertique squeezé dans le brouillard d'un pays qui se délite peu à peu, dans les rosiers d'une sourde violence politique, d'un cinéma rond de cuir, et d'une démocratie qui en a son voyage de ce nouveau siècle sans allure, de ces Obamalités assez timorées pour aller cirer les pompes arrogantes des derniers colons avérés, pour raser encore des murs de béton à laisser en érection, par besoin de Pouvoir avant Tout... DSMoon***

Espère le ce petit rien,ton chemin de bonheur est toujours tracé,il suffit de le retrouver et de le suivre...Merci Alain pour ce passage par chez moi,je te compte parmi les rares sur ce vip à posséder la moindre parcelle de coeur je ne te vois ni plus ou moins pire qu'aucun d'entre nous..Une écolière cessant un temps l'école buissonnière..Amitiés Bipolaire..

Congratulations to all those who watch over the smooth running of this magnificent blog !! voyance