Pas de confrontation, pas de nouvelle guerre avec la Prusse,
Le changement est désormais réduit à un match de soccer,
Sans armes ni morts, juste quelques blessés…
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Pas de confrontation entre la Droite et la Gauche,
Les majorités sont trop fragiles pour oser s’y frotter,
De notre Pépère élu par défaut à Angéla comptant ses électeurs…
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Pas de confrontation entre la trentaine de nations au label CEE,
Chacune avec ses principes et ses dogmes, loin des choux de Bruxelles,
Avec ses extrêmes à flatter du coin de l’œil, à l’œil ou pas…
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Selon un journaliste allemand, Angéla ne peut frustrer ses électeurs de l’ultra-droite,
Sous peine de perdre les élections prochainement à venir,
À en risquer une germanophobie aussi idiote qu’européenne…
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Selon les journaleux franchouillards, le bon peuple souhaite un front républicain,
Un pack à recevoir en bonus, un antidote à la gastro-politique actuelle:
Juste un remède à la déliquescence des Flamby et autres fromages qui puent…
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Mon ange m’a posé son dossier sur le Tout de celà:
Trois quarts des citoyens aspirent à l’unité républicaine versus la confrontation:
Certains exigent la représentativité de ceux qui ont voté pour la Gauche,
Certains espèrent s’en tirer au moins pire, en rêvant à un duo Copé-Désir…
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Deux dossiers se font face, en véritable et incontournable confrontation, désolé:
L’un demande de souder la majorité des votes républicains, de Mélenchon à Bayrou,
L’autre rêve d’un PACS à l’italienne, d’un mariage des langues de bois,
Juste volontaires pour POUVOIR faire leur soupe sans vergogne,
Juste poser un coin lucratif dans le bois qui flotte encore…
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Pas de confrontation, silence-radio, l’on a trié les têtes d’affiches,
On a nommé les meilleurs nuls aux postes les plus hauts,
De Désir en Hollande, juste pour ne blesser personne,
Au risque de forcer le monde à s’écorcher à vif,
Pour des fromages à consommer en douce, rapidement:
La majorité des votants risquent de se retrouver cocus,
Comme souvent dans cette belle cinquième république..!
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Juste une *special dedicace* aux Allemands ordinaires:
Je devine vos galères de gens sans salaire minimum garanti,
Je sais le calvaire de la mère de vos enfants sans crèche,
Je connais vos têtes de Turcs et vos immigrés sous-payés,
Polonais, Hongrois ou pas, juste là pour exporter des berlines en Chine…
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Pas de confrontation, pas de nouvelle guerre avec la Prusse,
Le changement est désormais réduit à un match de soccer,
Sans armes ni morts, juste quelques blessés…
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Mon ange en a conclu que la majorité sortie des urnes,
De Bayrou à Mélenchon, n’a rien à aspirer d’un fromage qui marche
Au bon gré de ses vers enfarinés, sans aucune crédibilité:
Les trois quarts des Français exigent leur bon sens,
Loin des magouilles politiques visant à se couler
Dans la masse confortable d’un Pouvoir inattendu:..!
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DSMoon (Votez..!)