Au terme de ces quatre jours de glandage sans chêne,
Et à l’orée d’une pré-période au parfum de Noël,
De dinde imaginaire à la fin du réveillon,
Après le Champagne et les raids des alcootests…
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En fin de dimanche à finir dans le blues,
Comme tous les Dimanches, sans rien autour,
Juste la douce vie à conduire à bon port,
Sans bombe humaine ni mille vierges à en espérer
Au bout de la ligne droite, là où se coupe le fil,
Celui qui nous mène dans ce cher nulle-part à venir…
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Au terme de mille expériences, les pires et les meilleures,
Avec des prochains à aimer ad-hoc, au fil du Temps,
Quand parfois c’est beau temps, et parfois la tempête,
Avec, pour seul compas, un ange dans le cœur
Qui nous prie gentiment d’avancer encore, sans peur,
Juste pour se savoir vivant encore, en cette belle seconde…
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J’ai tué à jamais un mot, la nostalgie, en défonce légitime,
Sous ma paire virile de Caterpillar noir, en un vrai silence,
Muet, sans trompette, je mue à en perdre mon bon ou mauvais poil:
Sans tambour je reste, décidé à ne plus tambouriner par amour,
Ou par compatissance, juste je passe un gros cap de gris nez…
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Désormais s’enchaineront les crises de foi et les cerises sur le Sunday,
Désormais je resterai liquide face aux vents, selon mes vagues,
Et imperméable, en plume de canard, sous les larmes de crocodiles…
Et je prendrai les ampoules étalées dans les rues pour ce qu’elles sont:
Juste un voile dans le long soir d’un hiver dédié au commerce ad-hoc..!
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Ne m’appelez jamais Papa Noël!
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DSMoon ( Hiver 2010 )