Les roses se fanent au fil du rasoir des vents
Et des promesses semées dans les campagnes…
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Les rêves se révèlent nuls et non-avenus
À l’heure du réveil, loin des fumées d’Amsterdam…
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Jamais eu, moé, un Résident de ma République
Aussi nul dans son job, aussi nul dans mon Tout…
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Jamais cru me poser dans le pire des pires,
Quasiment à en préférer un Collard bleu-marine
Versus un élu par défaut, juste versus un petit nerveux frappadingue…
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Juste rêve encore d’un gouvernement plus sage,
Façon Québec, ou d’un style moins arrogant,
Juste m’en prends à renouveler mon passeport
Pour un pays moins frappadingue…
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Chez moi, le Maire s’endette pour des investissements
Sans allure, des travaux à budgétiser encore
En dettes sans allure, juste pour équilibrer
Un budget financé par nos impôts…
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Fi des urgences et des frais écolos,
Juste un presbytère à rénover, et un abri à poser
Devant la salle des fêtes, loin des ralentisseurs
Et des travaux d’assainissement urgents…
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Espédaillac reste un électron libre
Dans un vrai monde, loin d’André Chassaigne
Et des citoyens du vrai monde réel:
Les roses se fanent au fil des campagnes électorales…
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J’avais prévu un livret A pour payer mes divers impôts
À payer en ce 15 Octobre, en bon fonctionnaire retraité,
Et donc m’en suis sorti sans liste rouge à ma banque,
Mais je pense encore à ceux et celles qui n’ont rien vu venir
De ce Bercy piloté par un ministre supposé socialiste:
Désolé pour eux si leur vote n’a pas été le plus lucide:
Voter contre le Pire n’a jamais été voter pour le bon..!:)
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DSMoon***