Faque j’ai perdu ce dimanche deux mi-temps de footeux
Par religiosité avec Rodez, comme avant avec Nancy,
Toulouse ou même d’autres bien moins connus,
Au gré de mes liens plus ou moins virtuels…
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J’ai fini sur la 4 dans un théâtre sans détour,
Juste bon à rire au plus juste, loin des nostalgies…
C’est si beau, la vie d’un homme ou d’une femme,
Loin des pièges de la jungle, loin des rêves à flusher…
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Un jour, on aime à en défier la Mort,
Un autre nous rend si fragile face à la réalité:
Mon ange me dit que c’est bien ainsi,
Que nous ne sommes que des songes, un man’songe
Juste là pour nous perpétuer encore et encore…
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Et si c’était vrai, ces amours à jeter au feu,
Ces flammes bleues à brûler toujours
Pour en emplir une urne de cendres encore chaudes,
À disperser dans le vent d’un virtuel inconnu..?
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Et si c’était un rêve, ces beaux amours faits ou à faire,
Dans la fumée de nos flammes les plus inextinguibles..?
Mon ange s’en ai sorti en douce, juste par prudence,
Et se garde de me révéler ses portes secrètes, juste par prudence…
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Quoi répondre à une lettre qui agrée votre désertion
Quand vous vous accrochez en fou au moindre lien
Qui peut encore vous sortir du courant où vous vous noyez,
Que répliquer à ces objections d’avocats..?
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Comme plusieurs, ce dimanche comme avant,
J’ai du atterrir en diag’ sur une piste blanche,
Comme quand je touchais le sol de Saint-Pierre,
Sans jamais présumer de mes chances d’en sortir vivant…
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Faque j’ai perdu ce dimanche deux mi-temps de footeux
Par religiosité avec Rodez, comme avant avec Nancy,
Toulouse ou même d’autres bien moins connus,
Au gré de mes liens plus ou moins virtuels…
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Une Parisienne du 03 me manque encore et toujours,
Et je n’ai rien de mieux à dire ou à redire:
Mon nom est peut-être Sam…
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DSMoon***